Les efforts inlassables de l’Algérie couronnés de succès : l’entité sioniste est exclue de l’Union africaine jusqu’à nouvel ordre

Hana Saada, 8 février 2022. Les plans des sionistes pour se glisser discrètement au sein de l’Union africaine en tant qu’État observateur ont été, de manière spectaculaire, contrecarrés par l’Algérie, l’un des plus grands soutiens de la Palestine en Afrique, qui a recueilli un énorme soutien pour s’opposer à l’affiliation des sionistes.

Les efforts inlassables déployés par l’Algérie, aux côtés de ses amis, pour annuler le statut d’observateur accordé à l’entité sioniste au sein de l’Union africaine (UA), ont été couronnés de succès. Le statut d’observateur de l’entité sioniste au sein de l’UA a été suspendu au deuxième jour du 35e sommet de l’Union africaine qui se tient dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba, sous le thème : « Renforcer la sécurité alimentaire : Accélérer le développement du capital humain, social et économique sur le continent africain ».

Plusieurs appels ont été lancés au sein de l’UA pour que cette décision soit annulée. Cette dernière a constitué une question brûlante qui a été âprement débattue, le dimanche 6 février 2022, lors du 35e sommet de l’UA, alors que les principaux pays africains, en particulier en Afrique du Nord et en Afrique australe, ont rejoint la pression pour expulser les sionistes. Ces pays soutiennent l’initiative historique de l’Algérie, appuyée avec enthousiasme par l’Afrique du Sud, pour mettre fin à l’immixtion des sionistes après deux décennies de diplomatie discrète sur le continent, suite à leur éviction de l’organisation, en 2003, par l’ancien président libyen, feu Mouammar Kadhafi.

A cet effet, l’Algérie et l’Afrique du Sud, deux pays connus pour leur soutien indéfectible au droit inaliénable du peuple palestinien, se sont opposés à la décision prise par le Président de la Commission de l’UA (Moussa Faki Mahamat, homme politique tchadien, ndt) et ont réussi à imposer cette question sensible à l’ordre du jour de la deuxième journée de la 35ème Conférence de l’Union. Les deux pays ont appelé, dans les termes les plus forts, l’UA à revenir sur sa décision injustifiée.

Le Premier ministre palestinien Mohammed Shtayyeh a, pour sa part, exhorté l’Organisation panafricaine à annuler le statut d’observateur accordé à l’entité sioniste.

« On ne devrait jamais récompenser l’entité sioniste pour ses violations et pour le régime d’apartheid qu’elle impose au peuple palestinien », a déclaré M. Shtayyeh à l’ouverture d’un sommet de deux jours à Addis-Abeba, en Éthiopie.

« Vos excellences, j’ai le regret de vous annoncer que la situation du peuple palestinien n’a fait que devenir plus précaire. La décision d’accorder à l’entité sioniste un statut d’observateur est une récompense que [Tel Aviv] ne mérite pas, et nous demandons que cette décision soit annulée », a-t-il ajouté.

Plus tard, il a tweeté : « Aujourd’hui, j’ai demandé au #AUSummit2022 de retirer le statut d’observateur à l’entité sioniste. Accorder ce statut à l’entité sioniste est une récompense imméritée. La Palestine a confiance dans le soutien de l’Afrique à notre peuple sous l’occupation prolongée et belliqueuse de l’entité sioniste. »

Au deuxième jour du Sommet, l’Algérie, ainsi que des pays arabes et africains amis, ont réalisé une promesse qui semblait impossible à certaines parties, en suspendant la présence de l’entité sioniste au sein des institutions de l’Union africaine jusqu’à ce qu’une étude plus approfondie soit menée.

La suspension signifie que la décision du président de la Commission de l’Union africaine n’a plus aucun effet et que les sionistes ne jouissent plus d’aucune capacité dans les institutions de l’Union africaine jusqu’à la conclusion de ce dossier, dont l’étude a été confiée à un comité composé de sept chefs d’État, dont l’Algérie, qui se charge de préparer une recommandation pour le prochain sommet de l’Union sur cette question.

Le comité comprend le président sénégalais Macky Sall, en sa qualité de président en exercice de l’Union africaine, et le président algérien Abdelmadjid Tebboune, ainsi que les présidents sud-africain Cyril Ramaphosa, rwandais Paul Kagame, nigérian Muhammadu Buhari et camerounais Paul Biya, en plus du président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi.

Selon la décision de dimanche, le sort des sionistes est désormais suspendu entre les mains des membres du comité formé pour étudier cette question.

À l’exception du président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, qui est considéré comme le parrain de la décision d’accorder l’adhésion à l’entité sioniste à l’Union africaine en tant qu’observateur, les autres pays s’alignent sur l’initiative algérienne qui a été soutenue avec enthousiasme par l’Afrique du Sud, en raison de la lutte honorable de cette dernière contre la politique d’apartheid (discrimination raciale), subie par le peuple sud-africain, et maintenant par le peuple palestinien en raison des pratiques des sionistes.

Dans cet esprit, rappelons à Mahamat et à l’ancien Premier ministre du Tchad, ainsi qu’au Président du Congo, les paroles prononcées par le légendaire leader sud-africain Nelson Mandela en 1997. Mandela, comme nous le savons, s’est engagé à mettre fin à l’apartheid et à instaurer la règle de la majorité et des droits pour tous dans son propre pays et dans d’autres États africains. Ce faisant, il n’a toutefois pas oublié les personnes qui ont soutenu le mouvement anti-apartheid, bien qu’elles aient été elles-mêmes opprimées, maltraitées et brutalisées par ce qui a été récemment condamné comme un régime raciste d’apartheid.

« Nous savons trop bien que notre liberté est incomplète sans la liberté des Palestiniens », a-t-il déclaré dans un discours prononcé en 1997 à l’occasion de la Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien. Il n’aurait jamais cautionné la trahison des Palestiniens par l’UA.

Ce différend, notons-le, a été déclenché, en juillet dernier, lorsque le Tchadien Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine, a accepté unilatéralement l’accréditation de l’entité sioniste auprès du bloc panafricain de 55 pays, déclenchant l’indignation au sein d’une instance qui valorise le consensus.

Le ministre algérien des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, dans sa réaction à la décision qui a suscité un énorme tollé en Algérie, a déclaré que le président « n’a pas le droit de mettre en péril l’unité de son organisation, en imposant l’entité sioniste sans aucune consultation préalable. »

Le chef de la diplomatie algérienne était à l’origine d’une motion visant à révoquer cette décision, arguant qu’elle allait à l’encontre des déclarations de l’UA soutenant les territoires palestiniens occupés.

Dans une interview accordée à Radio France International et à la chaîne satellite France 24 avant le sommet, le ministre des Affaires étrangères Lamamra a qualifié la décision de l’UA de « double erreur ».

« La première erreur a été d’accorder le statut d’observateur [à l’entité sioniste] sans mener de consultations avec les États membres de l’UA, dont l’Algérie », a affirmé M. Lamamra, ajoutant que la décision « était mauvaise et n’aurait pas dû être prise. »

Il a noté : « Si des consultations préalables avaient eu lieu, il ne fait aucun doute que la décision n’aurait pas été prise. »

La deuxième erreur, selon M. Lamamra, « est qu’il y a eu une division entre les États membres sur cette question, et que rien n’a été fait pour tenter d’y remédier. C’est mauvais pour l’organisation et peut mettre en péril la solidarité qui doit exister entre les États membres. »

A Addis Abeba, M. Lamamra, qui représentait le président Abdelmadjid Tebboune, a tenu une série de réunions avec plusieurs chefs d’État dans la dernière partie de la session. Il a rencontré Sahla Work Zewde, président de l’Ethiopie, pays qui accueille le siège de l’Union africaine. Il a également rencontré les ministres des affaires étrangères de l’Angola, du Kenya, de Madagascar, du Nigeria, de l’Érythrée et du Burundi en marge de la quarantième session ordinaire du Conseil exécutif de l’Union africaine. Lamamra a également rencontré le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et de l’Intégration africaine de la République du Togo, Robert Dossey, le ministre tchadien des Affaires étrangères, Sherif Mohamed Zein, et le ministre ougandais des Affaires étrangères, Henry Orem Okello, où le ministre des Affaires étrangères a plaidé en faveur de la défense des principes fondateurs de l’Union africaine de soutien aux droits des peuples, d’anticolonialisme, et contre toute forme de domination contraire aux valeurs de libération.

Notez que l’Algérie a exprimé son rejet de la décision unilatérale à de multiples occasions, et a entrepris, dès la date de son annonce, des démarches vigoureuses auprès de plusieurs pays africains amis pour révoquer cette décision qui vise à réaliser des gains politiques, économiques, sécuritaires et militaires pour les sionistes sur le continent qui condamne l’apartheid.

Le 22 juillet, le ministère sioniste des Affaires étrangères a déclaré que son ambassadeur en Ethiopie, Admasu Allele, avait présenté ses lettres de créance en tant que membre observateur à l’UA. Le ministère n’a pas fourni de détails sur les raisons de cette décision.

Immédiatement, Alger a mené une guerre déclarée contre cette adhésion illégale. Elle a officiellement commencé à former une équipe d’États africains pour rejeter cette décision. Jusqu’à présent, l’Algérie a mené des consultations intensives qui ont duré environ trois mois, sous la direction du ministre des Affaires étrangères, M. Lamamra, qui a été reçu par le président sénégalais, qui est le nouveau chef de l’Union africaine, M. Macky Sall, et par le ministre des Affaires étrangères de ce pays, qui a un grand respect pour l’Algérie.

Par la suite, l’Algérie a réussi à s’allier à l’Afrique du Sud, la Tunisie, l’Erythrée, le Sénégal, la Tanzanie, le Niger, l’Egypte, les Comores, le Gabon, le Nigeria, le Zimbabwe, le Liberia, le Mali et les Seychelles pour protester contre cette décision.

Par ailleurs, et à l’exception du Maroc, les autres membres de la Ligue arabe étaient contre l’octroi du statut d’observateur à l’entité sioniste. L’Algérie avait déploré, en novembre dernier, la position de Rabat qui « menait une campagne en faveur de ce statut. »

Le ministère de Lamamra a attiré l’attention sur le fait que « l’occupation continue de la Palestine par les sionistes va à l’encontre de la lettre et de l’esprit de l’Acte constitutif de l’Union africaine, ainsi que de son obligation de respecter et d’appliquer les résolutions respectives des Nations unies. »

Dans cet ordre d’idées, Ramtane Lamamra a affirmé, dans toutes ses rencontres, que la diplomatie algérienne « ne se taira pas devant une mesure qui a été prise par l’UA sans consultations préalables avec les États membres. »

« L’acceptation par l’UA de l’entité sioniste en tant que membre observateur vise à frapper la stabilité de l’Algérie, qui est aux côtés de la Palestine et des causes justes », a souligné Lamamra.

En réaction à la position de principe de l’Algérie, le mouvement de résistance palestinien Hamas a exprimé sa profonde gratitude à l’Algérie pour ses grands et inlassables efforts visant à faire révoquer le statut d’observateur de l’entité sioniste au sein de l’UA.

« Le Hamas a suivi de près les préparatifs du prochain sommet africain dans la capitale éthiopienne, et le succès des efforts de l’État frère d’Algérie pour placer l’expulsion de l’entité sioniste de l’Union africaine en tête de l’ordre du jour de la réunion », a déclaré le porte-parole du Hamas, Sami Abu Zuhri.

Il a noté qu’une telle position est hautement appréciée par la nation palestinienne, la décrivant comme un reflet de la noblesse de l’Algérie.

Le responsable du Hamas a appelé les pays arabes et africains à soutenir les efforts de l’Algérie à cet égard et à offrir une plus grande coopération pour le succès de son initiative.

Il a également déclaré que la position algérienne était « un reflet clair de l’esprit du monde arabe et des principes du continent africain », soulignant que « les États membres de l’Union africaine devraient être unanimes à demander l’expulsion du régime sioniste occupant du bloc ».

Il convient de noter que le langage pro-palestinien figure généralement dans les déclarations faites lors des sommets annuels de l’UA. La Palestine a déjà le statut d’observateur auprès de l’Union africaine.

Selon les experts africains, le statut d’observateur de l’entité sioniste est largement considéré comme faisant partie de la campagne continue du régime de « Tel Aviv » pour normaliser les liens en Afrique. En septembre dernier, un groupe d’avocats, de chercheurs et de militants internationaux a déposé une plainte auprès de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, dénonçant cette décision unilatérale et demandant la révocation de l’entité sioniste.

« Les violations des droits de l’homme commises par l’entité sioniste sont contraires à l’esprit et au sens de la Charte de l’Union africaine, notamment en ce qui concerne les questions d’autodétermination et de décolonisation, car l’entité sioniste continue d’occuper illégalement la Palestine en violation de ses obligations internationales et des multiples résolutions des Nations unies », peut-on lire dans le document.

De nombreux Africains, notamment d’Afrique du Nord et d’Afrique du Sud, ont été consternés par la décision injuste et injustifiée de la Commission de l’Union africaine, prise au cours d’une année où le peuple palestinien, opprimé et sans défense, a été harcelé par des bombardements destructeurs et par la poursuite de la colonisation illégale de sa terre.

Les Palestiniens continuent de perdre des territoires au profit des sionistes, tandis que leurs conditions de vie se sont de plus en plus détériorées dans la pauvreté, le déni des libertés fondamentales par la discrimination et l’assujettissement systémiques, les expulsions forcées et les ordres de démolition des propriétés palestiniennes dans les quartiers de Sheik Jarrah et Silwan. Tout cela a culminé, plus récemment, dans la violence qui a coûté la vie à des femmes, des enfants et des personnes âgées innocentes pendant la guerre de 11 jours contre la bande de Gaza qui a commencé le 10 mai 2021, ce qui équivaut à des crimes de guerre. Les forces d’occupation sionistes avaient l’intention délibérée d’infliger davantage de pertes parmi les civils pour pousser le peuple palestinien à accepter l' »existence » de l’entité sioniste.

Un total de 243 Palestiniens, dont 66 enfants et 39 femmes, ont été tués lors des attaques sionistes sur la bande de Gaza assiégée le 10 mai 2021. Des affrontements ont éclaté, le 13 mai, à travers les territoires occupés en raison des attaques et des restrictions des sionistes contre les Palestiniens dans la partie orientale d’Al-Quds occupée, la mosquée Al-Aqsa, ainsi que de la décision d’un tribunal sioniste d’expulser 12 familles palestiniennes de leurs maisons au profit des colons sionistes.

La décision sur le déplacement forcé est, en soi, un crime de guerre et une agression contre l’humanité, transformant le système judiciaire sioniste en un outil barbare pour faire passer les programmes d’expansion sioniste raciste au détriment des civils palestiniens.

La tension s’est déplacée à Gaza le 10 mai, entraînant une confrontation militaire entre les forces sionistes et les groupes de résistance palestiniens, où les avions de guerre sionistes ont causé une destruction d’une ampleur sans précédent dans les maisons et les infrastructures palestiniennes.

Les Palestiniens sont également victimes d’attaques militaires répétées, qui ont coûté la vie à plusieurs civils innocents (hommes, femmes et enfants), en particulier dans la bande de Gaza, qui est soumise à un blocus strict depuis 15 ans.

Les sionistes commettent des violations à l’encontre des fidèles d’Al-Qods occupée en les empêchant d’accéder aux lieux de culte, au premier rang desquels la mosquée Al-Aqsa, troisième site le plus sacré du monde pour les musulmans, en recourant à une force excessive contre eux d’une manière qui menace leur vie et les conduit très probablement à la mort. Au cours du mois sacré du Ramadan, au moins 305 personnes ont subi des blessures diverses lorsque les sionistes ont pris d’assaut l’Esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est et ont attaqué des Palestiniens qui montaient la garde pour empêcher les raids des colons israéliens.

L’entité sioniste commet des crimes d’apartheid et de persécution contre les Arabes dans les territoires occupés, dans le but de maintenir la domination des sionistes sur les Palestiniens.

Le régime sioniste est devenu la seule puissance dirigeante parallèlement à l’autonomie palestinienne extrêmement faible, où les sionistes sont méthodiquement favorisés, tandis que les Palestiniens ont été dépossédés, confinés, séparés de force et assujettis en vertu de leur identité à des degrés d’intensité variables. Dans certaines régions, ces privations sont si graves qu’elles équivalent aux crimes contre l’humanité que sont l’apartheid et la persécution.

La décision de repousser cette décision unilatérale prouve, une fois de plus, que la cause palestinienne est vivante dans le cœur des nations résistantes. En outre, le mouvement d’annexion des sionistes a coïncidé avec le rapport de 213 pages de Human Rights Watch, intitulé « Un seuil franchi », qui affirme que les Palestiniens souffrent de l’apartheid.

« Priver des millions de Palestiniens de leurs droits fondamentaux, sans aucune justification légitime en matière de sécurité et uniquement parce qu’ils sont palestiniens et non juifs, ne relève pas simplement d’une occupation abusive », a déclaré Kenneth Roth, directeur exécutif de Human Rights Watch.

« Ces politiques, qui accordent aux Israéliens juifs les mêmes droits et privilèges où qu’ils vivent et discriminent les Palestiniens à des degrés divers où qu’ils vivent, reflètent une politique visant à privilégier un peuple au détriment d’un autre. »

Pour sa part, la décision de dimanche coïncide avec la publication, cette semaine, d’un rapport d’Amnesty International intitulé « L’apartheid d’Israël à l’égard des Palestiniens ; système cruel de domination et crime contre l’humanité. »

On peut y lire : « L’organisation a conclu qu’Israël a perpétré le délit international d’apartheid, en tant que violation des droits humains et violation du droit international public (…)»

« Amnesty International a également conclu que les modèles d’actes proscrits perpétrés par Israël tant à l’intérieur du pays que dans le TPO font partie d’une attaque systématique et généralisée dirigée contre la population palestinienne et que les actes inhumains ou inhumains commis dans le cadre de cette attaque l’ont été dans l’intention de maintenir ce système et constituent le crime contre l’humanité d’apartheid au titre de la Convention sur l’apartheid et du Statut de Rome. »

A l’instar de l’équipe africaine qui a fait avorter le rêve sioniste de mettre un pied dans cette honorable organisation continentale, le monde entier est appelé à exercer une pression réelle sur l’entité sioniste, l’ennemi de l’humanité, en vue de mettre fin à sa violation systématique des droits de l’homme et à la mise en vigueur de la discrimination contre le peuple palestinien.

Je considère que ce que l’Algérie et ses amis ont réalisé au sein de l’Union Africaine est un grand succès. Il sera classé dans le chapitre des victoires diplomatiques algériennes : l’Algérie a été parmi les premiers à s’opposer à cette décision qui va à l’encontre des principes fondateurs de l’organisation panafricaine.

Article original en anglais sur Al-Mayadeen – traduction MR

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